Poing
Ombres et coups
Le coq initia au volage tacatac
Quelle mort aimerais-tu avoir?
Celle suave de la dernière attaque
Comme aimer Dieu sans le savoir
Prie l’onde magneto électrique
De ne perturber qu’une heure
Les engrenages de la fabrique
Des mécanismes du bonheur
fondue
tondue
prendre la peine
club pen
entretien chaudière
mots d’hier
brabant
le banc
Inspire
Soupir
Parfume
Sucré d’Agrume
Benzine encore maboule
Quatre bras désarmés
Des cris au nom d’abdul
Et Liège en Mallarmé
Nakba
Samourai
Pamoison des pollen
Frondaison du poème
P
Un matin sucré de tilleul
Infuse un rappeur earl grey
En marche en pleine gueule
De son sein de son plein gré
La zone grise
Du pain emballé
Nous déstabilise
Tel le sucré-salé
Un samedi se dégrise
Deux soeurs allument
Un contrôle terrorise
Le troène qu’il hûme
Soumission
Compatibilité des genres
Erreur quatre cent quatre
La page toujours à prendre
Un voyage prévu à quatre
A travers les souvenirs s’enfuir
Je pense retrouver chaque fois
La double déraison d’y mourir
Chaud, gras et sucré tu vois?
Parking sous-terrain
Trompettes de trémolo
En sorcière bien-aimée
Nous tire vers le haut
C’est l’homme araignée
Daemon
Un hommage au grand H
Ne flétrit que son écho
Et malgré son grand âge
Aiguise les uns aexéquo
Ombrée tradition
On parle une nostalgique langue
Pour s’écarteler des ombres roses
Chantent des africaines et tanguent
Le japonais saluant dans sa prose
Ceci est mon corp, il rompit le pain
Pris un tramway et un deuxième
Etoupa ses désirs et rêves peints
Mais ils revinrent comme il les sème
Lac de Côme
A Brienno, les 300 habitants
Au Harry’s Bar où Paolo crée
Partout se cherche en visitant
Le prosciuto et melon sucré
Pays des vallées
Le soleil renverse l’amour brûlant
Des fiers nationalistes quatrains
Pur sang je m’enfuis en hurlant
Ma préférence de joindre en train
Douceur d’amande
Comme les blés chauffés
Ou un thé glacé Ginger ale
Emotion d’un juste trophée
Tu voiles la cale sans ailes
Encore en accord mineur
Ta gamme de verts papillons
Vers un reflet de démineur
Accepte le majeur et fuyons
A deux doigts de l’explosion
Centrale nucléaire exterieure
A vingt ans en radio nous osions
La fission étant l’avenir des rieurs
Une jalouse à Kaboul
Erudite comme Hérodote
Elle lui minuta son dispositif
À l’envers de son antidote
Il salua ses frères dans l’explosif
La bonne femme habillant l’idiot
Senti le parfum d’une autre
Avança alors l’heure avec brio
Comme si elle devenait nôtre
Les talibans vinrent se venger
Et la tuèrent dans son veuvage
Elle ira seule au paradis manger
Et aux fourneaux tous les sauvages
Double imposture
Papillon bleu
Epileptique asynchrone
Sous cinquantenaire
Originale séance plènière
Pays des vallées s’embrase
Forêts scandinaves sèchent
Sur une canicule préméditée
Un double croc dans une crêperie
Dos de cabillau, raie des bas-fonds
Mie de pistolet ferme la ferme égérie
Lancement subit mais respire à fond
M derrière
Alix du val
Nuque hier
Et quintal
Insoumis des lois de morphogénèse
Mais esclave de la nocturne reptation
Qui fusionne les essenses à une aise
Je place le mot dans l’oeil de l’agitation
Etouffé par un belliqueux kraf maga
Il cherche à détricoter la cruelle attaque
En résistance comme les Peshmergas
Puis en syncopées bleues et cardiaques
After Pat
Une luciolle ou un ver luisant
Etrangle étrangement le cou
Du grenier charnel à la cave
Ploiyant d’avoir bu beaucoup
Elle sent ce que d’autre savent
Me suit pour un abandon gisant
Permute
Traffic
Bute
Saphique
Lors de son eurasienne cavale
Marco Polo et ses mercenaires
Se postèrent en sortie Genval
En manque d’ombre trentenaire
Arithmétique et sensations
Genèse et superficialité
Pôles Nord et Sud en action
Et les fractions d’animalité
Il s’échoua sur l’île se laissa mourir
Mais changea d’humeur et par
Un concours de circonstance
retrouva un vertical sourire
Et après quelques dons épars
Repris son originale danse